I also remember the first chapter of John's Gospel when John states emphatically, "He came to what was his own, and his own people did not accept him." [John 1;11]
I think that it is an important reminder to us who consider ourselves to be faithful disciples that if Pilate can show a glimmer of faith in the mystery that took place before him, we had better stay ready and open to all that God places before us along the road of life.
Today I sat there in the Benedictine monastery where the Passion Story was being chanted wondering about the toughness of Pilate before the officials of Jerusalem as compared to the weak heartedness of Jesus' closest disciples. I was also asking myself if, like Peter, I need some prodding to enter the gate and come around the fire of the Savior's loving suffering. John wasn't afraid, he was there, inside the courtyard and he had been recognized as a friend of the Captive. He didn't have to be invited; Maybe he was daring the temple officials to try him too; John didn't take out his sword. He carried his faith out in the open believing that in the presence of the Divine Lamb he had nothing to fear.
What about us? Do we fiddle faddle around the edges waiting to be invited? Maybe it is time to repent; maybe it is time to reconcile ourselves with God and His expectations of us for the greater glory of His Mission.
Quand j'entends ces mots
venant de Pilate Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'ils sont prononces dans
le même l'esprit que lorsque Caïphe dit: «Si cela vient de Dieu, rien ne peut
l'arrêter. »
Je me souviens aussi du
premier chapitre de l'Evangile de Jean, où John affirme catégoriquement: «Il
est venu chez les siens, et les siens ne l’ont pas accepté. " [ Jean 1 ,
11 ]
Je pense que c'est un rappel
important pour nous qui nous considérons comme disciples fidèles, que si Pilate
peut montrer une lueur de la foi dans le mystère qui a lieu devant lui, nous
ferions mieux de rester prêt et ouvert à tout ce que Dieu place devant nous le
long de la route de la vie.
Aujourd'hui je me suis assis
là, dans le monastère bénédictin où se chantât l’histoire de la Passion et je
m'interrogeais sur la ténacité de Pilate devant les fonctionnaires de Jérusalem
par rapport à la faible insouciance des plus proches disciples de Jésus. Je me
demandais si, comme Pierre, j'ai besoin
d’insistance à entrer par la
porte pour venir me tenir autour du feu
de la souffrance du Sauveur. Jean n'avait pas peur. Il était là, dans la cour
et il a été reconnu comme un ami du captif. Il n'avait pas attendu d’être
invitée; Peut-être même qu'il posait un défi effronté aux responsables du
temple ; Jean n'a pas pris son épée.
Il a porté sa foi à l'air libre de croire que dans la présence de l'Agneau divin,
il n'avait rien à craindre.
Qui sommes nous? Sommes-nous
des bricoleurs timides qui nous tenons juste dehors de la clôture espérant que
quelqu’un viendra vers nous pour nous inviter? Peut-être que c’est la saison du
repentir ; peut-être qu'il est temps de se réconcilier avec Dieu et ses
attentes de nous pour la plus grande gloire de sa mission .
Cuando oigo esas
palabras viniendo de Pilato no puedo evitar de pensar que se dicen a partir de la
misma mente que cuando Caifás dijo: "Si esto es de Dios, nada puede
detenerlo."
También recuerdo el
primer capítulo del Evangelio de Juan, cuando Juan dice enfáticamente: "
Vino a los suyos, y los suyos no le recibieron. " [Juan 1, 11]
Creo que es un
recordatorio importante para nosotros que nos consideramos discípulos fieles
que si Pilato puede mostrar un atisbo de fe en el misterio que tuvo lugar antes
que él, habíamos permanecer más listo y abierto a todos los que Dios pone
delante de nosotros a lo largo del camino de la vida .
Hoy me senté en el
monasterio benedictino donde se estaba cantando la Pasión. Me preguntaba sobre la dureza de Pilatos ante
los funcionarios de Jerusalén, en comparación con la despreocupación débil de
los discípulos más cercanos de Jesús. Yo también me preguntaba si, al igual que
Pedro , necesito un poco de insistencia para entrar en la puerta para acercarme
del fuego del sufrimiento del Salvador. Juan no tenía miedo. El estaba allí, en el interior del patio y
que había sido reconocido como un amigo de la Cautiva. Él no tenía que haber
sido invitado; Tal vez él estaba desafiando los oficiales del templo para
juzgarlo demasiado; Juan no tomó su espada. Él llevó su fe seguro que, en presencia
del Cordero Divino no tenía nada que temer.
¿Qué pasa con
nosotros? ¿Quedémonos alrededor de los bordes a la espera de ser invitado ? Tal
vez es hora de arrepentirse; tal vez es hora de reconciliarnos con Dios y Sus
expectativas de nosotros para la mayor gloria de Su Misión.
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